Un groupe de travail s’est réuni le lundi 28 mars à l’Académie du climat, 2 Place Baudoyer, afin de mener une réflexion et produire des propositions sur les missions, les pratiques professionnelles et les ressources des AAS, au sein de la DPMP.

La méthodologie de travail employée :

Première partie : Recensement des différentes spécialités de la Surveillance avec prise en compte du lieu de prise et fin de service, du périmètre d’intervention, des horaires par spécialité et des cycles de travail afférents, de la taille des brigades, des publics rencontrés.

Deuxième partie : Formation de trois groupes de travail, avec rotation d’un groupe à l’autre.

• Premier groupe : Comment est retranscrit le travail de terrain … Quels retours ?
• Deuxième groupe : Les différents supports de travail existants (classeur de procédures, règlement d’emploi, etc…).
• Troisième groupe : Comment rendre attractif le métier et le valoriser.

Troisième partie : La restitution des groupes de travail.

Ce qui en ressort :

Les agents ont exposé les problèmes suivants :

1. Manque de retour concernant la retranscription du travail de terrain (Parcs et Jardins, Mairie et Médiateurs). Pas assez de réunions et de temps d’échange au sein des équipes avec les divisions.
2. Une base de travail assez solide pour les AAS « Parcs et Jardins » qui possède beaucoup d’acquis du temps de la DEVE avec un règlement d’emploi, un classeur de procédure, une base à consolider pour les AAS « Mairies » et une réactualisation nécessaire pour AAS « Médiateurs ».
3. Une volonté d’être d’avantage impliqué avec les différents corps composant la DPMP, mais également avec les autres directions.
4. Impliquer d’avantage les AAS dans la fête des jardins et celle de la DPMP … Fait marquant : Anglais pour tous les agents de la DPMP en vue des JO 2024, mais également d’autres formations qui ne soient pas forcément en rapport avec le métier.
5. Impliquer d’avantage les encadrants à la vie des brigades, afin qu’ils soient le lien et le support entre les AAS, la Division, voire la Direction. C’est déjà d’actualité dans certaines Brigades, mais les agents souhaitent le généraliser.
6. La tenue doit être revue afin de ne pas créer de confusion entre les différentes spécialités.
7. Mis à part quelques cas isolés, la verbalisation ne semble pas être une volonté majeure, une préférence s’oriente davantage vers la prévention, l’accueil et la surveillance.

Nos réflexions sur ce premier groupe de travail :

1. Envisager de former des groupes par spécialité ;
2. S’appuyer sur l’existant (règlement d’emploi, fiche de poste…).
3. Ne pas avoir le sentiment que les débats soient orientés en vue d’une préparation à une certaine forme de polyvalence entre les différentes spécialités qui composent le corps AAS.
4. Nous sommes étonnés de constater que certains AAS verbalisent les VAS (vendeur à la sauvette) alors que nous avions spécifié auprès de M. FELKAY la dangerosité de ces vendeurs, parfois armés.

L’ADMINISTRATION FOURNIRA UN COMPTE RENDU DE CE GROUPE DE TRAVAIL. NOUS RÉITÉRONS NOTRE DEMANDE D’UNE PARTICIPATION AUX 3 GROUPES POUR LES ORGANISATIONS SYNDICALES !

Prochain rendez-vous

Le 09 mai 2022, pour ce groupe.